Comment accomoder sa vie à la manière zen
Prix : 13,70 €
(à la date du Oct 27, 2020 01:43:42 UTC – Détails)
Si vous recherchez des idées originales pour votre future activité liée à la restauration ou à la cuisine en général, ce livre pourrait vous intéresser…
Moine zen américain, Bernie Glassman nous livre ici son témoignage sur cet art singulier qui consiste à donner sens à son existence, et qui peut se comparer à l’art culinaire. Dans la tradition bouddhique, la vie elle-même est apparentée au repas suprême, que l’auteur nous invite à préparer en sa compagnie, dans le sillage des Instructions au cuisinier de Maître Dogen, fondateur de l’ordre zen sôtô au XIIIe siècle.
À partir des « ingrédients de base » qui correspondent aux données incontournables de notre vie, Bernie Glassman élabore différentes préparations « culinaires » pour nourrir l’esprit – comme la méditation ou l’étude – et pour mieux vivre ensemble.
Son message porte avant tout sur la nécessité d’un engagement véritable. Préoccupé par les grands problèmes de société, il mène depuis vingt ans une lutte authentique pour la réinsertion des déshérités. Une manière pour lui de montrer que la sagesse zen s’adapte concrètement aux questions majeures de notre monde contemporain.
Quatrième de couverture
Moine zen sôtô américain, Bernie Glassman nous livre ici les clefs d’une existence qui fait sens. Pour toute la tradition bouddhique, celle-ci est apparentée au repas suprême, que hauteur nous invite ici à préparer avec lui, dans le sillage des pratiques zen et de l’enseignement de Maître Dôgen, fondateur de l’ordre son) au XIIIe siècle, dans son petit livre Instructions au cuisinier zen. La méditation zen doit s’ouvrir sur une action sociale.
Les “ingrédients de base” sont le doute, la foi et la détermination : tout le savoir-faire du “chef” consiste à ne laisser aucun aliment de côté, même ceux qui peuvent nous paraître inutiles. Bernie Glassman illustre cette démarche en créant, en 1982, un communauté à Greyston. dans un quartier pauvre de Manhattan. Il y installe une boulangerie sociale dont les bénéfices sont redistribués aux travailleurs recrutés, qu’elle aide à sortir du cercle vicieux dans lequel sont habituellement enfermés les SDF.
La réussite de cette entreprise ne consiste pas tant dans ses gains financiers que dans le développement spirituel des personnes qui y travaillent. Pourtant, à l’image de cette expérience, il est important de se souvenir que l’on doit toujours préparer de nouveaux repas : que c’est un processus infini. Lieu de l’épanouissement de toutes les pratiques zen, de l’harmonie sociale, cette communauté invite chacun de nous à œuvrer pour ce repas suprême.